La Sophrologie répond à l’invitation de Socrate (470-399 av JC)
« Connais toi toi même et tu connaîtras l’Univers et les Dieux pour le miracle d’une seule chose, l’Unité »
Ceci marque ainsi sans ambiguïté qu’elle se veut instrument de développement personnel.
Préhistoire
Personne ne sait exactement d’où les Sumériens tenaient leurs connaissances. Toujours est-il que l’écriture la plus vieille du monde (8000 ans av. J.C.), conservée sur de petites plaques d’argile (écriture cunéiforme), nous donne des comptes-rendus de discours thérapeutiques tenus par des prêtres / médecins de l’époque et que ne renieraient pas les sophrologues modernes.
Plus près de nous, Homère (9° siècle av. J.C.) parle déjà de « terpnos logos » et le temple du Dieu Asclépios (l’Esculape grec) à Epidaure (4° siècle av. J.C.), est organisé en centre de thérapie par la parole; distillée au travers des murs à des patients en transes. Les Egyptiens et les Druides Celtes faisaient de même.
Platon (3° siècle av. J.C.), disciple de Socrate décrit l’état sophronique (sophrosyne), et parle des beaux discours qui inclinent à la sagesse (Charmide).
Histoire
Un pas de géant et nous entrons dans la modernité avec Messmer, qui en 1878 « invente » l’hypnose. Le Marquis de Puységur, l’abbé Farias, puis Liébault et Bernheim, médecins Lorrains et leur « Ecole de Nancy », enfin Charcot en 1880 et son fameux disciple, Sigmund Freud. Celui-ci gardera de son passage à la Salpétrière, la conviction que le malade détient tous les éléments de sa propre guérison et les lui faire exprimer librement est de nature à l’aider à libérer son inconscient. Tous ont contribué d’une façon ou d’une autre à faire naître… la Sophrologie.
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